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Un
partenariat
historique entre
Énergir
et Hydro-Québec

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entre
Énergir et
Hydro-Québec

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entre
Énergir et
Hydro-Québec

La biénergie, une solution innovante à la décarbonation

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Cette capture d’écran a été prise lors d’une des nombreuses rencontres de collaboration entre Hydro-Québec et Énergir sur la biénergie.

Au Québec, nous avons la chance de pouvoir compter sur de l’électricité renouvelable, à bon prix. Son utilisation accrue est un grand avantage pour atteindre les cibles de réduction des émissions de gaz à effet de serre que nous nous sommes fixées. Or, l’électrification de l’économie posera un défi en période de pointe des températures hivernales, lorsque la consommation d’énergie sera au maximum pour chauffer les bâtiments. En effet, électrifier le chauffage au gaz naturel dans tout le secteur du bâtiment exigerait l’équivalent en énergie de deux complexes hydroélectriques comme celui de La Romaine!

Notre solution

Notre solution est d’inciter nos clients résidentiels, ceux exploitant de petits commerces et nos clients petits et moyens institutionnels à utiliser l’électricité la majorité du temps et le gaz naturel pour chauffage lors des périodes de pointe hivernale.

Résultats d’ici 2030

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Diminution potentielle des
émissions de GES de

540 000 tonnes

Conservation d’une sécurité
d’approvisionnement avec deux réseaux fiables.

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Diminution potentielle des
émissions de GES de

540 000 
tonnes

Conservation d’une sécurité d’approvisionnement avec deux réseaux fiables.

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Diminution potentielle des émissions de GES de

540 000 
tonnes

Conservation d’une sécurité d’approvisionnement avec deux réseaux fiables.

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Décarbonation du chauffage des bâtiments à un coût pour la société beaucoup plus faible que le « tout électrique » :

1,5 milliard de
dollars d’économie

Baisse de la facture des clients qui passeront à la biénergie.


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Décarbonation du chauffage des bâtiments à un coût pour la société beaucoup plus faible que le « tout électrique » :

1,5 milliard de
dollars d’économie

Baisse de la facture des clients qui passeront à la biénergie.


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Décarbonation du chauffage des bâtiments à un coût pour la société beaucoup plus faible que le « tout électrique » :

1,5 milliard de
dollars d’économie

Baisse de la facture des clients qui passeront à la biénergie.


Une entente historique pour décarboner le Québec

D’ici 2030
l’offre de biénergie
visera environ
100 000
de nos clients.

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D’ici 2030
l’offre de biénergie
visera environ
100 000
de nos clients.

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D’ici 2030
l’offre de biénergie
visera environ
100 000
de nos clients.

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Au cours d’une année type, chaque client visé devrait théoriquement consommer environ

30 %

de gaz naturel
(ou de GNR)

et

70 %

d’électricité.


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Au cours d’une année type, chaque client visé devrait théoriquement consommer environ

30 %

de gaz naturel
(ou de GNR)

et

70 %

d’électricité.


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Au cours d’une année type, chaque client visé devrait théoriquement consommer environ

30 %

de gaz naturel
(ou de GNR)

et

70 %

d’électricité.

Nous en sommes venus à une entente avec Hydro-Québec qui permet de minimiser les répercussions tarifaires à la fois chez nos clients et sur nos revenus. Ainsi, le principe de miser sur la valeur de notre réseau, plutôt que strictement sur les volumes, prend tout son sens.

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Un exemple
vaut mille mots!

Le principe de la biénergie repose sur l’utilisation de l’électricité la majorité du temps et le passage au gaz naturel en période de pointe énergétique pour libérer de l’électricité au moment où l’énergie est en grande demande.

Ainsi, le gaz naturel serait utilisé seulement quelques centaines d’heures par année, lors des périodes de grands froids notamment, dans les secteurs visés, ce qui permettrait d’électrifier encore davantage d’usages.

Un exemple :

Notre cliente, Mme Clermont, habite un bungalow à La Prairie. Sa bonne vieille chaudière est en fin de vie, et Mme Clermont commence à magasiner un nouvel appareil. Après avoir analysé ses options, on lui propose de passer à la biénergie. C’est avantageux! Elle ferait une économie sur sa facture d’énergie d’environ 500 $ par année, et une bonne partie du surcoût des appareils serait compensée par des aides financières.

Un entrepreneur en plomberie installe donc chez notre cliente deux petites chaudières, une à gaz naturel et l’autre à l’électricité, et ajoute une valve motorisée contrôlée par une sonde. Cette valve actionnera la chaudière à gaz naturel lorsque la température extérieure sera inférieure à -12 degrés Celsius. Après un an à la biénergie, notre cliente aura réduit de 70 % sa consommation de gaz naturel et aura contribué à alléger son empreinte carbone à très bon coût pour la société. Soucieuse de l'environnement, Mme Clermont pourrait aussi consommer du GNR plutôt que du gaz naturel traditionnel. Il s’agit là d’un cas type d’une résidence. Les configurations et les économies peuvent différer d’un client à un autre.

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Exemple d’un client d’Énergir qui passe à la biénergie.

Il s’agit là d’un cas type d’une résidence. Les configurations et les économies peuvent différer d’un client à un autre.

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Une mécanique
à dessiner

La biénergie n’est pas un concept nouveau.

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Hydro-Québec l’offre depuis des années, mais la plupart des clients résidentiels qui y ont adhéré consomment du mazout, et non du gaz naturel. Le caractère innovant de notre solution, c’est la collaboration de deux distributeurs d’énergie indépendants dont l’objectif conscient est de décarboner le secteur du bâtiment, au meilleur coût possible pour la société.

Ce n’est pas nouveau seulement au Québec, c’est une première mondiale!

C’est hautement motivant pour nos collègues de travailler sur un concept d’une telle portée; et ce n’est pas sans efforts. Ils doivent rencontrer des fournisseurs et des parties prenantes, cartographier les processus d’affaires et le parcours client, convenir du bon tarif en collaboration avec Hydro-Québec, s’assurer que les ministères impliqués sont bien informés et engagés, trouver le bon moyen de communiquer… Ces efforts seront bientôt récompensés.

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Cet été, nous prévoyons déposer notre première preuve conjointe avec Hydro-Québec sur la biénergie. Nous espérons recevoir pour être en mesure de commercialiser l’offre résidentielle dès 2022.

Une mécanique à dessiner

La biénergie n’est pas un concept nouveau.

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Hydro-Québec l’offre depuis des années, mais la plupart des clients résidentiels qui y ont adhéré consomment du mazout, et non du gaz naturel. Le caractère innovant de notre solution, c’est la collaboration de deux distributeurs d’énergie indépendants dont l’objectif conscient est de décarboner le secteur du bâtiment, au meilleur coût possible pour la société.

Ce n’est pas nouveau seulement au Québec, c’est une première mondiale!

C’est hautement motivant pour nos collègues de travailler sur un concept d’une telle portée; et ce n’est pas sans efforts. Ils doivent rencontrer des fournisseurs et des parties prenantes, cartographier les processus d’affaires et le parcours client, convenir du bon tarif en collaboration avec Hydro-Québec, s’assurer que les ministères impliqués sont bien informés et engagés, trouver le bon moyen de communiquer… Ces efforts seront bientôt récompensés.


Cet été, nous prévoyons déposer notre première preuve conjointe avec Hydro-Québec sur la biénergie. Nous espérons recevoir pour être en mesure de commercialiser l’offre résidentielle dès 2022.

Une mécanique à dessiner

La biénergie n’est pas un concept nouveau.

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Hydro-Québec l’offre depuis des années, mais la plupart des clients résidentiels qui y ont adhéré consomment du mazout, et non du gaz naturel. Le caractère innovant de notre solution, c’est la collaboration de deux distributeurs d’énergie indépendants dont l’objectif conscient est de décarboner le secteur du bâtiment, au meilleur coût possible pour la société.

Ce n’est pas nouveau seulement au Québec, c’est une première mondiale!

C’est hautement motivant pour nos collègues de travailler sur un concept d’une telle portée; et ce n’est pas sans efforts. Ils doivent rencontrer des fournisseurs et des parties prenantes, cartographier les processus d’affaires et le parcours client, convenir du bon tarif en collaboration avec Hydro-Québec, s’assurer que les ministères impliqués sont bien informés et engagés, trouver le bon moyen de communiquer… Ces efforts seront bientôt récompensés.


Cet été, nous prévoyons déposer notre première preuve conjointe avec Hydro-Québec sur la biénergie. Nous espérons être en mesure de commercialiser l’offre résidentielle dès 2022.


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